Persépolis, bas-relief du lion dévorant un taureau.JPG Persépolis - Colonnes composites de l'apadanaMiniaturesPersépolis - Bas-relief des soldats au bouclierPersépolis - Colonnes composites de l'apadanaMiniaturesPersépolis - Bas-relief des soldats au bouclierPersépolis - Colonnes composites de l'apadanaMiniaturesPersépolis - Bas-relief des soldats au bouclierPersépolis - Colonnes composites de l'apadanaMiniaturesPersépolis - Bas-relief des soldats au bouclierPersépolis - Colonnes composites de l'apadanaMiniaturesPersépolis - Bas-relief des soldats au bouclierPersépolis - Colonnes composites de l'apadanaMiniaturesPersépolis - Bas-relief des soldats au bouclierPersépolis - Colonnes composites de l'apadanaMiniaturesPersépolis - Bas-relief des soldats au bouclier
L’historien romain Quinte-Curce (V, 7 - Ier siècle après J.-C.) raconte qu’en 330 avant J.-C., Alexandre le Grand vainqueur des Perses entre, triomphant, dans Persépolis. Sous la double influence du vin et de la courtisane Thaïs, il ordonne l’incendie de la ville pour « venger la Grèce » des sanglantes guerres médiques (490-470 avant J.-C.). Par ce geste qu’il regrettera, Alexandre s’imposait auprès du peuple perse réputé fier et indomptable, lui qui avait épargné les cités égyptiennes comme Babylone.

CC 4.0 Odysseum, photo F. Poli

Articles à consulter :
Alexandre le Grand, Chronologie de l’histoire grecque & Le glossaire du Musée virtuel