Le portique d’incubation ou abaton.jpg Épidaure - Entrée monumentale de l’hestiatorion, salle de banquets rituelsMiniaturesÉpidaure - Le stadeÉpidaure - Entrée monumentale de l’hestiatorion, salle de banquets rituelsMiniaturesÉpidaure - Le stadeÉpidaure - Entrée monumentale de l’hestiatorion, salle de banquets rituelsMiniaturesÉpidaure - Le stadeÉpidaure - Entrée monumentale de l’hestiatorion, salle de banquets rituelsMiniaturesÉpidaure - Le stadeÉpidaure - Entrée monumentale de l’hestiatorion, salle de banquets rituelsMiniaturesÉpidaure - Le stadeÉpidaure - Entrée monumentale de l’hestiatorion, salle de banquets rituelsMiniaturesÉpidaure - Le stadeÉpidaure - Entrée monumentale de l’hestiatorion, salle de banquets rituelsMiniaturesÉpidaure - Le stade
Le patient s’enroulait dans la peau de l’animal dépecé qu’il avait sacrifié au dieu puis il s’endormait dans le dortoir sacré. Le matin, les prêtres interprétaient la vision reçue en songe et proposaient un protocole thérapeutique. Une fois la guérison obtenue, on remerciait le dieu à l’aide d’offrandes. Le mur de fond reconstitué en partie permettait de dormir à l’abri des regards. Autrefois apparentées à des miracles, les guérisons résultaient de plus en plus de prescriptions médicales.

CC 4.0 Odysseum, photo P. Cochet-Terrasson

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