Trace-canalisation-sous-sols-des-thermes-d-Antonin.JPG Carthage - Colonne supportant une voûte des thermes d'AntoninMiniaturesCarthage - Entrée du théâtre par la scèneCarthage - Colonne supportant une voûte des thermes d'AntoninMiniaturesCarthage - Entrée du théâtre par la scèneCarthage - Colonne supportant une voûte des thermes d'AntoninMiniaturesCarthage - Entrée du théâtre par la scèneCarthage - Colonne supportant une voûte des thermes d'AntoninMiniaturesCarthage - Entrée du théâtre par la scèneCarthage - Colonne supportant une voûte des thermes d'AntoninMiniaturesCarthage - Entrée du théâtre par la scèneCarthage - Colonne supportant une voûte des thermes d'AntoninMiniaturesCarthage - Entrée du théâtre par la scèneCarthage - Colonne supportant une voûte des thermes d'AntoninMiniaturesCarthage - Entrée du théâtre par la scène
Virgile, Appien ou Apulée ont loué la beauté de Carthage.
Bâtis face à la mer sous l’empereur Antonin (138-161), les thermes frappent par leur dimension colossale.
Comme à Rome, on venait s’y rafraîchir, soigner son corps mais aussi rencontrer ses pairs ou se cultiver. La ville s’était dotée de nombreux autres édifices gigantesques tels un amphithéâtre aux dimensions proches de celles du Colisée ou un grand Circus (hippodrome), le deuxième de l’Empire après celui de Rome.

Carthage et les Phéniciens, CC 4.0 Odysseum, photo P. Cochet-Terrasson

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