Persépolis, inscription cunéiforme de Darius.JPG Persépolis - Porte des Nations - Vue EstMiniaturesPersépolis - Colonnes composites de l'apadanaPersépolis - Porte des Nations - Vue EstMiniaturesPersépolis - Colonnes composites de l'apadanaPersépolis - Porte des Nations - Vue EstMiniaturesPersépolis - Colonnes composites de l'apadanaPersépolis - Porte des Nations - Vue EstMiniaturesPersépolis - Colonnes composites de l'apadanaPersépolis - Porte des Nations - Vue EstMiniaturesPersépolis - Colonnes composites de l'apadanaPersépolis - Porte des Nations - Vue EstMiniaturesPersépolis - Colonnes composites de l'apadanaPersépolis - Porte des Nations - Vue EstMiniaturesPersépolis - Colonnes composites de l'apadana
Sur ce bloc rectangulaire s’élevant à plus de sept mètres, le visiteur qui entrait dans Persépolis, quelle que soit sa culture, pouvait déchiffrer l’une des inscriptions cunéiformes en quatre langues différentes : deux en vieux-perse, une en élamite et la dernière en babylonien. Darius Ier y énumère ses conquêtes et vante l’architecture de la cité qu’il a fondée. La langue perse connaîtra ensuite deux autres états : le moyen-perse (ou pahlavi) et le farsi (alphabet perso-arabe).

CC 4.0 Odysseum, photo F. Poli

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